Après les séances de planétarium ou du “Carrousel des Planètes” on peut souhaiter revenir à la réalité, passer du virtuel au visuel. Le premier instrument de l’astronome c’est l’œil. Voir le vrai ciel ; certains enfants des villes n’ont pratiquement jamais vu ou fait attention aux étoiles. C’est dès le départ une belle expérience personnelle, la domination de ses propres peurs : celles de l’obscurité, du manque de repères, des bruits de la nuit dont les cris des animaux mais aussi une lutte contre le sommeil, la fraîcheur. C’est aussi le plaisir de la lecture et de la reconnaissance du ciel.

Peu à peu le firmament n’est plus une surface anonyme mais une organisation presque immuable d’étoiles variées, proches ou lointaines. Par le chemin des constellations des ourses, on trouve l’étoile polaire et grâce à elle on définit les points cardinaux, on s’oriente. On prend confiance, on grandit, on existe dans l’espace. Par l’utilisation de la carte du ciel, on localise des constellations moins connues et on reconstitue dans sa tête le grand Puzzle du ciel. On est étonné de constater tout ce que l’on peut voir simplement à l’œil nu.

  Nouveau ! A l’aide d’un puissant rayon Laser Vert, Elie Bosc désigne les étoiles et les constellations du Ciel (Le vrai). Cet instrument est aussi spectaculaire que le sabre Laser de Luc Skywalker.

    Il projette son dard lumineux jusqu’à deux km. Autant dire qu’il semble toucher les étoiles. Le repérage stellaire en est rendu très précis.

  Cet accessoire rend les soirées d’observation beaucoup plus vivantes, le regard des spectateurs étant  littéralement captivé par cette flèche mouvante.

Les soirées d’observation

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Qui suis-je ?Qui_suis-je_.htmlQui_suis-je_.htmlshapeimage_2_link_0
BienvenueBienvenue.htmlBienvenue.htmlshapeimage_3_link_0
Le télescope de 400 mmLe_telescope_400.htmlLe_telescope_400.htmlshapeimage_4_link_0
La nouvelle caméra CCD   CCDQSI583.htmlCCDQSI583.htmlshapeimage_5_link_0
Les nouvelles PhotosPhoto_astro_CCD.htmlPhoto_astro_CCD.htmlshapeimage_6_link_0
Qui suis-je ?Qui_suis-je_.htmlQui_suis-je_.htmlshapeimage_7_link_0
Le planétariumLe_nouveau_planetarium.htmlLe_nouveau_planetarium.htmlshapeimage_8_link_0
Le Carrousel des PlanètesLe_Carrousel_des_planetes.htmlLe_Carrousel_des_planetes.htmlLe_Carrousel_des_planetes.htmlshapeimage_9_link_0shapeimage_9_link_1

Les soirées d’observation

Le télescope
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Dernière mise à jour Septembre 2010CCDQSI583.htmlCCDQSI583.htmlCCDQSI583.htmlCCDQSI583.htmlshapeimage_12_link_0shapeimage_12_link_1shapeimage_12_link_2

        Ensuite on pointe les jumelles et les étoiles se multiplient, la voie lactée se détaille en myriades de soleils lointains, les planètes jouent aux billes. Dans une lunette, la lune montre son visage de cratères et de plaines grises, on croirait la toucher. La veillée nous incline à retrouver certaines vertus telles que la patience et le respect de l’autre pendant qu’il utilise l’instrument. Sans compter l’échange, le partage des impressions et des émotions.

Enfin, auprès du mastodonte que représente le télescope de 400 mm, on fait la queue pour accéder à l’oculaire. Là, un hublot s’ouvre sur l’univers, on voyage à la vitesse de la lumière et c’est une pure magie de voir les planètes et leurs anneaux, leur cortège de satellites, puis c’est l’explosion des amas globulaires, la délicatesse de nébuleuses gazeuses, le limbe diffus des galaxies révélées. Un instrument de haute qualité qui nous a coûté des années de travail, polissage compris. Je vous montrerai ce que la photographie (inaccessible aux débutants) nous à permis de mettre à jour.

La soirée d’observation est une étape incontournable de l’initiation astronomique. Un moment magique où l’on se sent en liaison avec l’univers. Un sujet de réflexion et d’interrogation profonde. C’est là, en observant “pour de vrai” les anneaux de saturne, que l’on attrape pour toujours le virus de l’astronomie. En tout cas, on n’oublie jamais cette vision.