Bien sûr la fabrication des éléments n’était pas linéaire car nous nous partagions le travail ce qui impliquait des mises au point fréquentes. Des étapes d’assemblages préalables sont indispensables avant le plaquage de l’aluminium.
Bien sûr la fabrication des éléments n’était pas linéaire car nous nous partagions le travail ce qui impliquait des mises au point fréquentes. Des étapes d’assemblages préalables sont indispensables avant le plaquage de l’aluminium.
Le tube : c’est la partie optique proprement dite du télescope. Il sera supporté par la monture. Il contient le miroir primaire qui repose sur un barillet. En haut se trouve le miroir secondaire plat, incliné à 45°. Le secondaire renvoie le faisceau lumineux à 90° vers l’oculaire. Pour les petits instruments, on utilise effectivement un tube cylindrique. Ici ne reste que le nom, l’ensemble optique sera démontable pour en faciliter le transport. De bas en haut nous trouverons le tambour qui contient le barillet avec le miroir primaire, puis quatre triangles qui soutiennent le nez où sont placés le secondaire et le porte oculaire. Christian Montorier, chaudronnier de formation, a réalisé ces pièces compliquées et précises en aluminium.
Enfin notre machine commence à prendre forme, mais il reste encore beaucoup à faire : motorisation, habillage, peinture, mises au point. Néanmoins nous pourrons bientôt procéder aux premières observations et cette perspective redouble notre enthousiasme et notre efficacité.
3 La construction du Télescope de 400 mm : Le Tube
Sur les prochaines pages je vous propose de voir l’évolution de notre instrument, ses particularités, sa mise en station et son fonctionnement
L’aspect “Aluminium” nous plait beaucoup et nous considérons comme un crève-cœur de peindre le télescope. Cependant même l’aluminium s'oxyde et nous ne pouvons nous y soustraire. Nous choisissons donc une peinture métallisée qui lui conservera le même look.
3 Construction : Le Tube