Je pense que c’est aux alentours de 1994 que j’ai décidé de réaliser un premier planétarium. L’habitacle était composé d’une coupole “parapluie” de 3,82 m de diamètre avec 24 méridiens. Une fois déployé sur un pied télescopique spécial, le dôme reposait sur une barrière d’entourage avec bancs. L’ensemble était ensuite revêtu d’une double épaisseur de laine noire pour être parfaitement étanche à la lumière. Au centre, sur un support, la machine opto-mécanique projetait les étoiles. Une trentaine de personnes pouvaient prendre place dans ce planétarium où j’appris le rare métier de planétariste. De belles années pendant lesquelles je ne cessais de perfectionner ma machine.

4 les anciens planétariums

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J’optais à l’époque pour une coupole pliable et auto porteuse comparable à la capote d’un landau d’enfant. Les parties solides de la base étaient en aggloméré et en structure d’acier démontable. L’ensemble avait fière allure avec ses “vraies portes” et offrait un confort tout à fait acceptable au public. Sur les projecteurs de diapositives, deux objectifs de 25 mm permettaient de couvrir la majeure partie de l’écran hémisphérique de 4 m de diamètre.

  En 2001, L’Association des Planétariums de Langue Française a produit un spectacle audiovisuel “La Planète aux mille regards”. Il était disponible mais son adaptation sous le premier planétarium me paraissait peu pratique. Je rêvais d’un autre dispositif où tout le monde regarderait dans le même sens, vers une coupole inclinée à la façon des salles de cinéma “Omnimax”. Le matériel de projection serait installé au dessus du public sans danger. Bref, tout cela n’existait pas, il fallait l’inventer.

    Je transportais mon matériel avec une remorque. Ma machine opto-mécanique assurait la projection des choses célestes. Ce dispositif resta en fonction jusqu’à mon départ pour Nançay en 2002.

    Aujourd’hui cette coupole est posée définitivement sur ses panneaux d’aggloméré dans mon grenier. Ainsi, pour répéter mes séances il me suffit d’y installer ma nouvelle machine. 


   La revue “Planétarium” me fit l’honneur de deux pages d’article qui favorisèrent beaucoup la décision des responsables de Nançay en vu de mon embauche.

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Le planétarium

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4 Les anciens planétariums

Les soirées d’observationSoirees_dobservation.htmlSoirees_dobservation.htmlshapeimage_7_link_0
2 La nouvelle machineLa_nouvelle_machine.htmlLa_nouvelle_machine.htmlshapeimage_8_link_0
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3 Et si on faisait autre chose sous le planétarium ? ...Autre_chose.htmlAutre_chose.htmlAutre_chose.htmlAutre_chose.htmlshapeimage_10_link_0shapeimage_10_link_1shapeimage_10_link_2
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